Deux enfants du club passent professionnels

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Lucas Guigon et Mateo Caille ont signé leur premier contrat pro avec le Montpellier Handball

Le Montpellier Handball officialise les signatures professionnelles de Lucas Guigon et Mateo Caille. Les deux joueurs formés au club poursuivent leur parcours dans l’effectif professionnel après avoir évolué sous les couleurs montpelliéraines depuis leur plus jeune âge.

Mateo Caille, pivot, a rejoint le club en catégorie -9 ans en 2012. Lucas Guigon, arrière droit, a quant à lui intégré les rangs du MHB dès 2009 en -7 ans. Ces signatures s’inscrivent dans la continuité de leur progression et renforcent un groupe en pleine évolution, notamment après les départs de Djordje Cikusa, Veron Nacinovic et Karl Konan.

Avec la signature de ces deux jeunes le Montpellier Handball capitalise une fois de plus sur sa formation. Grâce au travail de son association, symbolisé cette année encore par un titre national en U18, le club prouve que sa filière est solide

Une étape importante dans leurs parcours

Mateo Caille évoque cette signature comme une transition majeure :

« C’est une vraie bascule, celle qu’on attend tous quand on passe des équipes jeunes au monde professionnel. [...] Depuis que je suis petit, je regardais les pros jouer… Et l’année prochaine, je ferai partie de ce groupe-là. »

 

Déjà présent à l’entraînement et sur certains matchs professionnels cette saison, Mateo mesure le chemin parcouru au sein de la filière montpelliéraine, citant Ludovic Fabregas comme modèle :

« C’était un rêve, oui. Et ça l’est toujours, surtout ici à Montpellier. »

 

Lucas Guigon s’inscrit lui aussi dans la durée avec son club formateur.


Sa signature présente une particularité : il poursuivra en parallèle ses études de chirurgie dentaire. Actuellement en troisième année, il passe en quatrième année à la rentrée et s'engage avec le club sur un contrat en alternance.

 

« Mon quotidien est partagé entre la fac et les entraînements. Ça demande beaucoup d’organisation, mais je me régale. [...] Je suis vraiment reconnaissant que le club me soutienne dans ce double projet. Honnêtement, ça demande du temps et des aménagements. La faculté a proposé des solutions qui m’ont permis, par exemple, de déplacer certain »

 

« J’aime autant le hand que mes études, et l’un ne va pas sans l’autre pour moi. Si je faisais uniquement du hand, il me manquerait quelque chose. Et si je faisais uniquement de la fac, pareil. J’ai besoin de me dépenser sur le terrain et aussi de stimuler ma tête. »

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